Une femme et sa plume partie 18
Le 23 février 2025
Choisir de vivre
Malgré tous les mots maudits
A l'écart du vent
Se mettre à l'abri
Chanter avec les oiseaux
Le désamour meurt
Le 24 février 2025
Touchante, la mélodie de l'oiseau
Belle, la forêt qui borde la rivière
L'hiver tout enneigé
M'éclabousse de clarté
Au bord de la fenêtre, mes pensées
Du triste s'étiolent
Je contemple le vivant
Puis, vive les mots qui délivrent un peu
La musique qui secoue mon âme de tant de beautés
Malgré un ciel sans soleil
Le vent chasse les imprudents
Le temps ... pourchasse,
Sans jamais s'arrêter
Le 25 février 2025
Le chemin vers la lumière
Prend sa source à l'intérieur
Pourtant, des nuages se faufilent
Causant de l'ombre
Réprimer ces angoisses qui font
Émerger les peurs. La terreur
Ces jours de confusion
Font ressurgir des moments tristes
Des paroles, des silences malheureux
Trouver un sens harmonieux
Une minute à la fois, une journée
A la fois...
Au-dessus de l'eau
Les mots liberté, unité,
Suivre le vol de l'oiseau
Espérance
Le 26 février 2025
Le jour se fait silence
J'avance dans ce silence de l'instant
Au creux du dedans
Le vent souffle
Les mots tournent dans tous les sens
Aspirer à la délicatesse
A la tendresse
Au savoir-vivre ensemble
Dans le respect
Le 28 février 2025
Dans ces jours incertains
Inquiétants j'aspire à trouver du calme.
Écrire me demande une plongée souvent en apnée
Puis, je tente de démêler, de placer en ordre le désordre qui m'habite
Chanter comme un souffle Douceur, trémolos...
Danser Du vivant. Mouvement Dans mon monde. Détente
Dessiner. Découverte du moment. L'obligation de m'arrêter, de me concentrer, de bien regarder, de m'appliquer. Ce n'est pas instinctif enfin pour moi, mais cela me fait oublier, m'apaise beaucoup.
La création sous toutes ses formes me procure des moments ou j'oublie ce qui se passe dans le monde
Ce n'est pas une fuite, une négation de la réalité.
C'est un peu de temps suspendu, une liberté d'être, de faire
Le 1 mars 2025
J'ai mal
A ce monde malmené
La peur La souffrance
La déshumanisation le désamour
Cela m'agrippe le coeur comme un étau
En même temps, la profondeur de ce que je ressens
De ce que vous ressentez De ce que le monde ressent
Ne détruit pas le courage de tout le monde
Je me surprends à osciller entre le miel
Et le vinaigre.
Je m'accroche
Les murs semblent se rapprocher
Je m'accroche
Des héros font surface
Je m'accroche. A tous ceux qui aspirent à un monde juste ...
Ma joie se teinte d’un sentiment d’impuissance
Il pleut(neige) des larmes de givre
Sur le monde
La lumière se terre dans le bois
La tristesse vole mes instants rosés
Le soleil reste (est resté) couché
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