Ni beaux ni laids

Ni beaux ni laids

Soleil imparfait

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Trop de cœurs défaillants s’égarent dans les sentiers de la solitude

Trop de cris muets déambulent sur les chemins de l’habitude

Le soleil imparfait

Se dessine sur un ciel incertain

Malgré la froidure

Qui perdure.

Trop de regards infiniment tristes

Attristent

Ces matins voilés

D’incertitude.

La brise s’accroche à la chevelure des nuages

La pluie s’écrase sur les visages.

Du soleil levant au soleil couchant

Trop de silences angoissants

Trop de vagues déferlent en hurlant

Trop de larmes démentes dans la mer immense.

Un vent hagard pleure

Trop de cœurs meurent

Dans l’indifférence

 

FFA 00051195

 

 



26/10/2013
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