Ni beaux ni laids

Ni beaux ni laids

S'élancer avec insouciance

10983413_1588561958022388_8907324329515172315_n.jpgJean-Pierre Deleau.jpg

 

Il était une fois l’enfance

Qui s’élance avec insouciance

Dans les champs de fleurs blanches

Le temps de l’innocence

Le temps de la délivrance

Des éclats de rire en permanence

Il y a dans ce pays, des silences

Habillés de présences

Si tendres que même l’absence

Au fond de leur cœur, danse

Même les pleurs n’ont pas d’importance

Puisqu’ils abreuvent les fleurs blanches

Il y a dans ce jardin des dimanches

Habités par de paisibles colombes blanches

Dans leur bec, un trèfle à quatre branches

Pour semer chaque jour de l’espérance

Dans ce bout du monde la désespérance

La violence

N’existent pas dans la douceur de l’existence

Artiste-peintre Jean-Pierre Deleau



19/02/2015
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