Ni beaux ni laids

Ni beaux ni laids

Mon étendard

Le corps ne cesse jamais de frissonner

 

Avec ou sans tendresse

 

Avec ou sans caresse

 

Le corps ne cesse jamais de gémir

 

Comme la mer qui se retire

 

Il emporte avec lui les désirs

 

Et une multitude de soupirs.

 

Mais un cœur

 

Sans chaleur

 

Un cœur triste et las

 

Un cœur qui ne tend jamais les bras

 

Deviendra comme une épave pourrie

 

Un simulacre de vie.

 

C’est pourquoi

 

Je porte mon regard vers l’horizon

 

Avec ce besoin de ressentir la passion

 

Je veux rêver et toucher le ciel

 

Admirer l’arc-en-ciel

 

Afin de sauvegarder l’espoir

 

Tout au fond de moi

 

Et dans le creux de ma mémoire

 

Comme un étendard.

 

 

FFA 00051195

 

 



15/07/2012
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