Ni beaux ni laids

Ni beaux ni laids

Au-delà

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La première fois que j’ai croisé ses yeux

Je me suis sentie presque belle

Mon ciel devint plus bleu

Un bonheur encore fragile, doucement

Se déposa sur les ailes

De mon cœur endormi,

Mais la solitude peu à peu

Comme une maitresse cruelle

Surveille du coin de l’oeil

Pour s’infiltrer au creux du lit.

C'est pourquoi, je continue de contempler ses yeux

Pour me sentir encore belle

Encore un peu.

Malgré les tempêtes

Malgré la tourmente parfois

Qui me remplit la tête

L’essentiel de la vie

La seule certitude qui grouille en moi

C’est de savoir qu’on s’aime encore

Qu’on s’aime au-delà de la vie

Au-delà …

 

 

 ARTISTE-PEINTRE ODETTE ITAH

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 



 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 



23/04/2014
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